Le Vieux Fou du Rang Croche
Mon Grand-Père qui vivait dans le rang croche ma raconté un jour l’histoire du vieux fou qu’on surnommait Ptit-Médé.
Ptit-Médé était un vieux garçon qui vivait en solitaire depuis le plus loin que mon Grand-Père puisse sans rappelé.
Il ne recevait jamais visite, sortait presque jamais dehors sauf pour aller faire ces courses au village. Il marchait presque 3 a 4 milles a pied pour sortir du rang pour allé cherché ces boustisfailles.
Arrivé au magasin il prenait presque toujours la même chose. Un peu de sucre, de la farine, du café pi une grosse livre de beurre. Ha! Oui du tabac a chiqué. Pi il revenait a la maison. Mais avant de partir il prenait toujours une copie d’un vieux catalogue pour commander divers article au cas ou.
Une fois entré dans sa maison, on pouvait ne plus le revoir pendant une bonne dizaine de jour sans qui mettre le nez dehors. On pouvais le voir juste a la tombé du soleil assis devant sa fenêtre a se bercé. On ne voyait que son ombre mais on savait que c’était bien lui.
Pauvre Ptit-Médé seul assis dans sa fenêtre y pouvait passé la journée a regardé les chars passé et dans le rang croche tout le monde savais qui avait jamais un maudit chat qui passait. A part bien sur le facteur Ptit-Pit Cashpi qui passait une fois au 15 jours livré le courier.
Mon Grand-Père me raconté aussi chaque fois que Ptit-Pit Cashpi passait le courrier au 15 jours Ptit-Médé recevait toujours une boîte bien emballé et de grande classe. Bien sur au village tout le monde racontait l’histoire de Ptit-Médé qui recevait du courrier dans de belle boîte bien emballé. On sait tous à l’époque que c’est la grand langue a Ptit-Pit Cashpi qui fesait allé les ragots au village.
Alors on eu droit a une multitude une d’histoire. Mais laquel était Dieu seul savait.
Pendant plusieurs années on na jamais pu savoir c’était quoi c’est maudit colis que Ptit-Médé recevait jusqu’au jour ou on trouva Ptit-Médé mort dans son grenier, parce qu’on avait pas de nouvelle de lui depuis plusieurs semaine et que personne ne l’avais revue au village.
On envoya ma Grand-Mère chez-lui qui fi la macabre découverte et par le fait on appris toute l’histoire sur les fameux colis.
La voici
Ptit-Médé qui vivait seul depuis trop longtemp déjà, feuilletais souvent le catalogue qui avait raporté chez-lui. Dans se catalogue il pouvait commandé tout ce qu’il voulait. Plein d’article de toute sorte. Du linge pour homme et pour femme aussi des articles pour la maison bref tout pouvais être commandé dans se catalogue. Du moins c’est ce que croyais Ptit-Médé.
Ptit-Médé qui surement avait une préférence pour la lingerie féminine c’était mis dans la tête que la personne qui portait la fine lingerie venait elle avec l’article. En faites Ptit-Médé croyais dur comme fer qui allait recevoir le modèle et non la pièce de linge que le modèle portait.
Alors Ptit-Médé croyais chaque fois qu’il ne recevait pas son article qu’il avait eu une erreur et il recommencais chaque fois qu’il avait quelque sous pour commander un nouvel article ou une nouvelle femme.
Pauvre Ptit-Médé quand ma Grand-Mère a vidé son grenier il avait des milliers de morceaux linge féminin encore dans leur boîte. Sa solitude lui avait fait frôlé la folie ou bien il l’était vraiment devenue fou.
Mon Grand-Père Gervais ma raconté ensuite crois le ou pas cette histoire est véridict tout simplement parce que je suis entré moi aussi avec ma Grand-Mère le matin que nous avons vidé sa maison.
Pauvre Ptit-Médé
Écrit par Gervais Lizotte